La cellule (Becquemin & Sagot)

If happiness came, I miss the call est une performance conçue pour MOCO Hôtel des collections par le duo d’artiste basé à Montpellier, La cellule (Becquemin&Sagot). Un duo, une mélopée, une contorsion… Un homme et une femme déambulent dans l’institution et se retrouvent dans le jardin pour une dernière danse au son d’un morceau pop qui se déconstruit progressivement. Ce duo étrange et mélancolique se joue des traditions d’inauguration et aborde, dans un mélange de genres, les thèmes chers aux artistes : le rituel, le désir et la transformation.          

A l’occasion de l’ouverture de l’Hôtel des collections, Geoffrey Badel, ancien étudiant du MOCO.ESBA et artiste désormais basé à Montpellier, présente An it harm none, do what ye will, un rituel de purification et de protection du lieu au sein de l’exposition inaugurale du MOCO. Le titre de la performance, issu de la philosophie wiccane, signifie en ancien anglais « Fais ce qu’il te plaît sans que cela ne nuise à personne ». Des manipulations d’objets personnels et symboliques, des modifications corporelles, des signes gestuels, des vocalises et des déplacements spatiaux convergent au sein d’une chorégraphie intuitive, tout en faisant référence à la Wicca, culte à mystères qui s’associe autant à la nature qu’à la magie.

Performance, Jacopo Miliani, Body oh boy nobody ! - MOCO Hôtel des collections

Avec Jacopo Jenna

Dans Body oh Boy Nobody!, un danseur déambule dans l’escalier, l’accueil et sur la terrasse du MOCO Hôtel des collections. Au fur et à mesure, le jeune homme se déshabille en partie dans une lente danse avant de se rhabiller et continuer sa promenade. Ses gestes et ses mouvements suggèrent des formes et des images connues de l’histoire de l’art, or, présentées sans musique et dans un contexte nettement antithéâtral, la performance met en jeu le rapport avec le spectateur et crée un lieu où séduction, désir et gêne se dessinent.

Parcours « jeux d’écriture/jeux d’expression » sous forme d’atelier pour aborder la question de l’écrit et du langage.

Performance par VOXEL

Avec Clarissa Baumann

Sur l’esplanade de la Musique sont installés deux modules cubiques créés par Artelozera et activés par quatre jeunes chorégraphes du programme Exerce ICI/CCN Montpellier : Voxel – des modules à habiter par le travail de la danse. Il s’agit d’espaces de travail perméables, où ont lieu différents échauffements, du travail d’écriture, des improvisations dansées, des déambulations et des performances. L’expérience humaine et la perte des repères sont essentielles dans ses actions. Les objets utilitaires qu’il produit sont privés de leur statut d’œuvre. Il suggère ainsi une alternative dans le champ du quotidien, et place le spectateur dans la position d’un expérimentateur.

Dans le cadre de l’exposition La rue. Où le monde se crée, le service des publics invite Mad Séries à installer son atelier à la Panacée et propose aux visiteurs de créer leur affiche en sérigraphie et de la personnaliser.

Les Inrocks vous invitent à discuter de la scène culturelle émergente, de la notion de lieux et comment les artistes les habitent, à Montpellier comme à l’étranger.

Performance par VOXEL, Modules à habiter par le travail de la danse

Avec Eric Niébé

Sur l’esplanade de la Musique sont installés deux modules cubiques créés par Artelozera et activés par quatre jeunes chorégraphes du programme Exerce ICI/CCN Montpellier : Voxel – des modules à habiter par le travail de la danse. Il s’agit d’espaces de travail perméables, où ont lieu différents échauffements, du travail d’écriture, des improvisations dansées, des déambulations et des performances. L’expérience humaine et la perte des repères sont essentielles dans ses actions. Les objets utilitaires qu’il produit sont privés de leur statut d’œuvre. Il suggère ainsi une alternative dans le champ du quotidien, et place le spectateur dans la position d’un expérimentateur.

Performance par VOXEL, Modules à habiter par le travail de la danse

Avec Clarissa Baumann

Sur l’esplanade de la Musique sont installés deux modules cubiques créés par Artelozera et activés par quatre jeunes chorégraphes du programme Exerce ICI/CCN Montpellier : Voxel – des modules à habiter par le travail de la danse. Il s’agit d’espaces de travail perméables, où ont lieu différents échauffements, du travail d’écriture, des improvisations dansées, des déambulations et des performances. L’expérience humaine et la perte des repères sont essentielles dans ses actions. Les objets utilitaires qu’il produit sont privés de leur statut d’œuvre. Il suggère ainsi une alternative dans le champ du quotidien, et place le spectateur dans la position d’un expérimentateur.

Exposition du 29 juin au 21 juillet
 

Collectif créé en 2018.  Vivent et travaillent à Montpellier.
MASCIAVE Ugo, MICHEL Lancelot, VAGUELSY Gaétan

Au mois de juillet, le collectif Gelly investit l’espace Saint-Ravy en proposant une réflexion sur la cohabitation. Composé de trois artistes, le collectif a partagé ensemble un atelier  pendant plusieurs années. Ils ont ainsi évolué continuellement côte à côte. Dans ce contexte, le collectif réalise une installation qui rassemble des projets individuels se confrontant dans un même espace. Gelly aborde la question du « collectif »  sous une forme fragmentée en tentant d’exacerber la sensibilité de chacun par le jeu d’une rixe amicale. Le collectif présente donc trois points de vue divergents, rassemblés autour de points de contacts.

Performance par VOXEL, Modules à habiter par le travail de la danse

Avec Clarissa Baumann

Sur l’esplanade de la Musique sont installés deux modules cubiques créés par Artelozera et activés par quatre jeunes chorégraphes du programme Exerce ICI/CCN Montpellier : Voxel – des modules à habiter par le travail de la danse. Il s’agit d’espaces de travail perméables, où ont lieu différents échauffements, du travail d’écriture, des improvisations dansées, des déambulations et des performances. L’expérience humaine et la perte des repères sont essentielles dans ses actions. Les objets utilitaires qu’il produit sont privés de leur statut d’œuvre. Il suggère ainsi une alternative dans le champ du quotidien, et place le spectateur dans la position d’un expérimentateur.

Film par Jean-Marc Chapoulie, Debord remasterisé

Jean-Marc Chapoulie, cinéaste et vidéaste, propose pour l'exposition de remasteriser La Société du spectacle de Guy Debord. Son film The Entertainment est un aller-retour entre les images intimes, politiques, journalistiques, cinématographiques et celles du spectacle, empruntées à l'Institut national de l'audiovisuel. Il sera une alternance de ses registres d'images passant du film original de Debord aux actualités. L'œuvre soulève la question de savoir comment nous percevons les images aujourd'hui dans leur reproductibilité.

Performance par VOXEL, Modules à habiter par le travail de la danse

Avec Clarissa Baumann

Sur l’esplanade de la Musique sont installés deux modules cubiques créés par Artelozera et activés par quatre jeunes chorégraphes du programme Exerce ICI/CCN Montpellier : Voxel – des modules à habiter par le travail de la danse. Il s’agit d’espaces de travail perméables, où ont lieu différents échauffements, du travail d’écriture, des improvisations dansées, des déambulations et des performances. L’expérience humaine et la perte des repères sont essentielles dans ses actions. Les objets utilitaires qu’il produit sont privés de leur statut d’œuvre. Il suggère ainsi une alternative dans le champ du quotidien, et place le spectateur dans la position d’un expérimentateur.